Le fleuve de l’esprit
Il coule tranquillement en paix
Quand tout va bien
Et que l’on se sent mieux aimé
Porté comme dans l’amour au sommet
Et brisant tout lien
Qui nous semble contraire et mauvais !
Il s’agite pêle-mêle quand tout autour
Se fait le silence
Et les flots des pensées s’enchevêtrent
Les affluents semblent ensemble disparaître
Et diminue la confiance
Qui devient à chercher tous les jours !
Il s’apaise enfin au fur et à mesure
Et baissent les flots
On y rame paisible dans un navire stable
Et il devient un fleuve charitable
S’en vont alors les maux
Pour écouter les sirènes loin de l’usure !