La libération quant à elle, si elle est «
l’Action de rendre libre une personne prisonnière » ou «
l’Action de délivrer un peuple de la servitude »[1] selon son entendement général, nous la posons dans notre travail comme délivrance de la servitude du mensonge, délivrance de la servitude de l’exploitation abusive et anormale des consciences par les plus forts et les plus influents pour des fins injustes et malsaines. Jésus a été le combattant farouche de cette cause et il s’y est donné jusqu’à la mort et à la mort la plus infâme. La nuance entre liberté et libération, si on l’admet, est liée au fait que la liberté est une bonne disposition à réaliser quelque chose de bien et la libération est rédemption, c’est le salut, c’est une délivrance effective.
Il nous semble donc nécessaire de rendre à l’homme sa conscience morale pour qu’il puisse être capable de marcher dans la liberté ; et le chemin de la libération qui donne la liberté et la dignité, c’est la vérité.