Par Batin
Alors que je t’avais diabolisée
Et pourtant toute compréhensive innée
Tu étais. Et maintenant mon âme pleure
Et à ton ressouvenir agonise et soupire
Toi tu m’as pas dédaigné à ce point ;
Et en ton cœur a toujours surgit en un coin
Mon image à laquelle tu as trouvé une pace
Indélébile car je te reconnais pleine de grâces
Si mon innocence à réagit contre toi
Tu ne t’es pas laissée envahir par le désarroi.
Si la rupture t’a meurtri au plus profond
Elle a germé et produit en nous un fruit, le bon
Le fruit qui dure, tout vert sur la plante,
Bercé par les mélodies que les rossignols chantent,
Et qui mûrit tout doucement à l’abri des feuillages,
Tombe dans l’humus et transmet la bonne vie aux futurs âges
Qu’il soit vraiment ce fruit, le vrai Amour
Que l’on peut découvrir au ressouvenir un jour.
Qu’il brille l’Amour jadis enterré
Et sache à jamais n’être que charité.
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