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Bonjour grand frère. Comment tu vas? j'ai parcouru avec beaucoup d'intérêt ton blog; cool; tu as du génie en toi qu'il ne faut pas négliger et je le dis toujours à Michel. je vais même copier ta<br />
fleur si tu es d'avis avec moi. En plus tu restes attaché aux traditions eu égard à tes libres propos. Une première réaction, la loi semble négliger la tradition. Ce que je peux ajouter c'est qu'au<br />
Burkina, le droit des personnes et de la famille dispose que l'enfant porte le nom de son père sauf au cas ou sa paternité n'est pas reconnue ou même sa maternité en parlant d'enfant abandonné et<br />
en ce moment plusieurs situations doivent être prises en compte.Et une des situations, c'est que l'enfant porte le nom de sa mère.Ainsi l'on protège l'enfant du fait qu'il a au moins une famille<br />
sûre et certaine. Cependant la loi est générale et ne saurait prendre cas par cas ces multiples traditions au regard de notre diversité culturelle.Tes propos sont d'un niveau intellectuel très<br />
élevé et demandent une analyse minutieuse. Je pense que le forum des ANCIENS que veut organiser le Président du Faso, gagnerait en crédibilité à en parler. Mais moi, je ne dis pas malheureusement,<br />
parce que la loi doit cultiver l'esprit de la nation créée qui exige harmonisation et partage. Je sais aussi que chez les samos, les femmes prenaient le nom de famille de leur mère et les hommes<br />
celui de leur père. Les choses ont changé certes,mais une chose est sûre, ne perdons pas les traces et la valeur de nos ascendants.<br />
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